Merci pour votre réponse.
En me rappelant que le non-sens coûte plus cher qu’un contresens, vous me ramenez à mes années de lycée. Par bonheur, je ne risque plus rien : le lycée est bien loin !
J’ai lu récemment Salammbô de Flaubert. Il est indiqué que l’auteur du roman s’est inspiré de Polybe. Ma curiosité m’a conduit à jeter un oeil sur cet auteur grec.
Le début de ma traduction m’apprend, sauf erreur de ma part, qu’un certain Mathos, Africain coupable d’émeutes dans l’armée romaine, cherchait à échapper aux punitions. Voilà pourquoi il s’allie à Spendios, esclave en fuite. Le pronom "il" renvoie donc à Mathos.
Je propose :
Craignant donc qu’il subisse le châtiment, pour les autres aussi, il se rangea à la même opinion à l’égard de Spendios.