Cet article de Wellek (Wellek, 1961) est intéressant pour cette discussion : il parle du symbolisme comme d’un "nouveau romantisme", ce qui est utile pour comprendre la relation entre romantisme et symbolisme. Dont peut-être Baudelaire a été l’intermédiaire ? @Jean-Luc
Aussi (Peckham, 1951) qui explique comment les écrivains romantiques (Wordsworth, Coleridge) se sont emparés de l’idée d’inconscient, pour remplacer la raison dans la quête de la vérité, et comme source de créativité.
On voit donc le fil conducteur entre les mouvements parents que sont le romantisme, le symbolisme et le surréalisme qu’est ce travail sur l’inconscient.
Références :
Peckham, M. (1951). Toward a theory of romanticism. Pmla, 66(2), 5-23. https://www.jstor.org/stable/pdf/459586.pdf?casa_token=X3jjS6UowyAAAAAA:ztaueJFYY16hF4PEv6DiCWDOMSkbOJo6yEn7pYqEap6NuB3twx4tWBB7H1D2RVbPD369pmgDBF4uakXKPas0x5CZUsnvHvqaK1fxmFB2rcSYdzlmf4HJ
Wellek, R. (1961). The concept of realism in literary scholarship. Neophilologus, 45(1), 1. https://link.springer.com/content/pdf/10.1007/BF01515025.pdf